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Prendre du recul avec la sophrologie


Sophrologie Patricia Gorka Charge mentale deconnexion

La charge mentale


Vivre la tête dans le guidon, ne pas lever le pied, être charrette… Vivre à 100 à l’heure pour aller plus vite parce qu'il y a toujours plus de choses à faire, au travail, à la maison. Ne plus avoir le temps de rien parce que ça va de plus en plus vite et qu'on manque de temps. Vouloir tout faire en même temps, envoyer des mails en faisant des courses, téléphoner en mangeant, répondre au texto en conduisant, regarder une série en se lavant les dents tout en pensant au repas du soir et finir épuisé, les yeux grands ouverts la nuit sans réussir à s'endormir.

Et puis un jour, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase...

...le caillou qui fait dérailler la machine et lâcher le guidon… La charge mentale a fragilisé le corps tout entier et le stress s'est installé. Mais est-ce vraiment le temps qui s'accélère ou serions nous tous en excès de vitesse, en rupture totale avec notre rythme naturel  ? Prisonnier du culte de l'urgence et asservi à nos outils de communication ?

 

Quand la déconnexion s'impose


Les mails qui s'accumulent, la présence sur les réseaux, les jeux en ligne, souvent addictif ...  Aujourd'hui, une partie du monde se doit d'être absolument connecté, partout à la fois, sur tous les fronts de la vie réelle à la vie virtuelle ; C'est un défi permanent, épuisant, une machine infernale.

La déconnexion parfois s'impose comme une nécessité !

Faire une pause, quitter les réseaux, éteindre les écrans et revenir à soi. Lorsqu'on suit une séance de sophrologie, il n'y a pas de téléphone, ni d'horloge, ni d'écran, simplement la respiration qui ramène à soi et la voix du sophrologue qui accompagne. La sophrologie permet la déconnexion.

 

Prendre du recul avec la sophrologie


C’est un fait qu'en ayant la tête dans le guidon, il est périlleux de regarder autour de soi ; la perception du monde se réduit à cet effort de l’objectif à accomplir… C'est un peu comme regarder une plage par le trou d’une serrure, il manque la perspective, le son et les odeurs et on a bien du mal à distinguer la couleur de l’eau… Il est parfois nécessaire d’ouvrir la porte pour ajuster sa perception du monde. Prendre du recul avec la sophrologie c'est s'offrir une vraie pause et revenir à l'ici et maintenant, au temps du vivant ;

Changer de perspective pour porter un autre regard sur les choses.

La prise de recul permet non seulement de retrouver du sens et de relativiser, mais c'est à ce moment là que le cerveau en profite pour se régénérer, faire le tri de toutes les informations accumulées.  C'est parfois dans ces temps de pauses que les décisions se prennent, que les solutions se trouvent.

La sophrologie ramène au temps Kairos, un temps qui ne se mesure pas mais qui se ressent, c'est celui qui nous fait dire que la soirée est passé vite, qu'on ne s'en est pas rendu compte. Il est différent du temps Chronos,  (le dieu du temps chez les Grecs) qui mesure et découpe notre journée. Les hommes ont besoin d'alterner ces deux temporalités pour maintenir l'équilibre psychique et physique. Quand il est impensable de ralentir, quelques séances de sophrologie peuvent aider à retrouver votre propre rythme.

Pourquoi la girafe ?

J’ai choisi la girafe comme animal symbolique à cause de son long cou qui lui permet de voir loin et largement, parfois même au-delà des nuages. La perspective de la-haut est bien plus large : elle ouvre le champs des possibles.

Vous souhaitez avoir plus d'informations complémentaires sur les séances ou les tarifs  ? N'hésitez pas à me contacter via la page contact du site Contact / Rendez-vous

La petite histoire…

Faites l’expérience : mettez une cuillère de sel dans un verre d’eau et essayez de le boire. Ce sera difficilement supportable. Jetez cette eau dans un lac et vous pourrez la boire sans sentir le goût du sel. (inspiration Matthieu Ricard)