Des hauts et des bas !
Personne ne dira le contraire : dans la vie, les choses sont rarement linéaires et le mouvement est perpétuel. Les moments heureux alternent avec d’autres, plus difficiles qu'il faut bien affronter. les Hauts et les bas s’enchaînent invariablement, comme les marées.
Parfois, les mauvais moments prennent toute la place et ils masquent tout le reste. Difficile de retrouver l'énergie et les ressources nécessaire à la reconstruction. Car effectivement, il est rare qu'absolument tout aille mal ...
Mathieu Ricard raconte souvent cette métaphore du verre d'eau : Si on met 5 cuillères de sel dans un verre d'eau, il est imbuvable mais si on verse le verre d'eau dans un lac, le sel ne se sentira plus. Bénéfice de la prise de recul ? de l'Ouverture au monde, aux autres ? chacun fera sa propre analyse.
Les aléas de la vie
Les aléas de la vie et le terme me convient, ce sont toutes ces choses qui nous arrivent et qui, forcément, nous modifient. Impossible de toutes les citer bien sûr ...
Quelques exemples parmi les plus courants de situations qui parfois nous nous font souffrir : Un changement professionnel voulu ou contraint, le départ d'un enfant de la maison, un déménagement, la retraite, la perte d'un être cher ... Et puis il y a les petits tracas qui affectent notre corps : un traitement plus difficile qu'un autre, l'apnée du sommeil et l'obligation de porter un masque pour dormir, les acouphènes ...
S'adapter avec la sophrologie
Que nous acceptions ces aléas de notre vie, nous sommes malheureusement contraints de "faire avec". Les facultés d'adaptation ne sont pas les mêmes pour tous et c'est quelquefois plus long et plus difficile pour l'un que pour l'autre. C'est tout ce qui fait notre singularité.
Prendre le temps de revenir à soi permet de récupérer mais aussi de remettre de la perspective, d'imaginer autre chose autrement.
Objectif de l'accompagnement sophrologique : laisser le temps de l'acceptation, s’adapter et continuer son chemin
Il y a une fissure en toute chose, c’est ainsi qu’entre la lumière.
Léonard Cohen